The M Experience
La Domina, Maîtresse de Paris
FORMATIONS ET PARCOURS
I J’ai commencé à dominer professionnellement en 1997 dans ma ville natale, Lake Tahoe. Cependant, ce n’est que lorsque j’ai déménagé à Los Angeles et que j’ai rencontré mon mentor, Simone Justice, que j’ai commencé à révéler mon véritable potentiel. Sous sa tutelle magistrale, j’ai perfectionné mon art. Elle m’a présentée à ses collègues, Georgia Payne, Gemini, Sabrina Belladonna, Isabella Sinclaire et Ilsa Strix, qui m’ont aidée à parfaire mon éducation.
En 2002, je suis partie pour New York et, en quelques mois, j’ai su que j’avais trouvé un endroit qui appréciait mon style de domination de niche et qui pouvait également mettre à l’épreuve mes compétences techniques. En 2004, j’ai transformé une maison de ville de Park Avenue en Maison de la Domination connue sous le nom de Luxuria. C’est là que j’ai travaillé et formé certaines des meilleures femmes de New York et que j’ai reçu les esclaves, les soumis, les fétichistes et les kinksters les plus élitistes du monde entier.
After an extended stint in Manhattan, I left to tour the US and the world in 2010, dominating supplicants in Barcelona, London, Antwerp, Dubai, Doha, and Hong Kong until I settled in my adopted home Paris in 2015.
Quand je ne suis pas au donjon, je fréquente des restaurants raffinés, visite des expositions artistiques ou, le plus souvent, m’entraîne pour le marathon de Paris sur les quais de la Seine.
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Maîtresse basée à Paris
Je pratique de la domination s’étend sur 25 ans et trois continents, ce qui ma permis d’expérimenter les profils psychologiques de diverses cultures et de goûter aux sombres secrets de nombreuses sociétés kink souterraines. Tous mes voyages et aventures ont servi d’une manière ou d’une autre à élargir mes connaissances, tout en consolidant ma nature locale trouvée dans la région du nord-ouest du Pacifique aux États-Unis.
STYLE DE DOMINATION
Mon approche de la domination est subtile, délibérée, attentive. Je suis dominante sans être dominatrice, permettant à mes sujets de libérer leur soumission intérieure. Je ne considère pas non plus mes sujets comme des êtres inférieurs, mais comme des individus forts qui, dans leur vulnérabilité, m’élèvent plus haut. Je ne suis pas la maîtresse des perdants. Je suis la dominante bienveillante de ceux qui cherchent le refuge du BDSM dans le monde ordinaire.
Ne prenez pas ma gentillesse et mon caractère enjoué pour de la faiblesse ou de la tolérance à l’égard des mauvais comportements. Vous êtes bien placé pour le savoir. J’attends des normes et des protocoles stricts qu’ils soient appris, respectés et suivis avec une férocité religieuse. Il ne faudra pas longtemps, peut-être juste un instant, pour que ces pratiques deviennent pour vous une seconde nature.
